Open Dump

2 décembre 2006

Art Beat

So many interactive works are using signals coming from inside as a meaningful/meaningless source of image and sound effects. Let’s try another collective experience!

Art Beat

People are seated in circle around a big subwoofer speaker a finger plugged inside a heart beat detector. The combined rhythms of the 7 participants should, when synchronised, make the light ball float in the middle of the space by the pressure of air propelled by the speaker. Amazing how we can drive our inside body more or less consciously.

30 novembre 2006

Hang it on your wall and call it an ?installation. (NoCA)

Enregistré dans : installation, No Comment Art (NoCA), SPAM — moben @ 23:25

Received today SPAM

Message subject: Hang it on your wall and call it an “installation.

No Kiding

Listen, I’m here!

Enregistré dans : interactive installation, Net, light, sound and music, installation — moben @ 20:22

At the very centre of the white box, a dot of light, floating.
The intersection of 2 laser beams.

I'm here!

A continuous sound made of thousands of voices coming from real time or pre-recorded phone conversions. Something close to white noise but different enough to make the audience feel the origin of the sound.
When visitors cut one of the beams, the sound stops.

I'm here! now

Everything happens as if the contact of the two beams would make the whole communication process possible.

Stolen Life

Enregistré dans : interactive installation, light, installation — moben @ 9:40

Deux concepts marquent la création du XXième siècle dont la portée métaphysique n’aura échappé à personne malgré leur éloignement apparent :
L’idée que le regardeur fait le tableau et l’idée que la vie d’une représentation puisse dépendre de son propriétaire (le Tamagotchi)

Les deux trahissent le fait que les représentations peuvent, par nature ou par construction, partager avec le monde qu’elles représentent une propriété fondamentale qui constitue la base d’un grand paradoxe métaphysique: notre incapacité totale à changer durablement l’ordre des choses et le sentiment d’infinie responsabilité qui nous habite. Les deux convergent vers l’idée que le monde existerait pour nous et par nous comme pour conjurer le fait qu’il n’en est probablement rien.

Je propose un dispositif qui nous donne la possibilité d’agir par défaut:
Deux salles contigües séparées par une ouverture rectangulaire, fenêtre et tableau. L’une est l’espace du public, plongé dans le noir. L’autre, inaccessible au public, est éclairée - comme dans les tunnels d’autoroute et une installation d’Olafur Eliasson - par de la lumière au sodium dont le spectre très étroit ne nous permet pas de distinguer les couleurs. Dans cette pièce un petit arbre planté. Il ne saurait se satisfaire d’une lumière si indigente en rayonnement.

Stolen LIfe

Le dispositif de survie

Le dispositif d’observation

L’image
(Lire la suite…)

« Page précédente

Propulsé par WordPress