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Amateur de musique vintage? Et si vous produisiez votre propre vinyle?

Dans une salle, un spectateur se tient face à une platine. Un vinyle joue le LA. Le son s’adapte à l’humeur du spectateur. Celui-ci se met à danser et la musique s’accorde en rythme en suivant ses mouvements. Ainsi, chaque session musicale produite est unique car elle est générée instinctivement par le spectateur.

Le principe ? La platine vinyle est reliée à des capteurs sensoriels réceptifs aux ondes émises par le spectateur-danseur. Celles-ci sont converties, par un algorithme associant des mouvements à des notes précises, en une mélodie unique et propre à chacun.

Le sillon du vinyle se déplace également selon les mouvements du spectateur. Ces oscillations sont gravées sur le vinyle qui tourne devant le spectateur. A la fin de la session, la vitrine contenant le disque s’ouvre pour le mettre à disposition, permettant au visiteur de repartir avec sa production audio uniquec créée à partir de ses mouvements.

L’incompréhension entre les trois grandes religions, Judaïsme, Christianisme et Islam a fait naître des conflits mondiaux majeurs tels que la situation actuelle en Palestine ou le génocide de Srebrenica en Bosnie-Herzégovine. Pourtant, des similitudes se retrouvent dans La Torah, La Bible et Le Coran : croyance d’un Dieu unique, prophètes communs, paradis promis pour ceux qui œuvrent pour le bien etc. Qu’adviendrait-il si tous les croyants se comprenaient et se respectaient ? Est-ce que le terrorisme religieux viendrait-il à disparaître ? Est-ce que les conflits entre certaines nations s’apaiseraient ? L’ignorance étant le pire des fléaux, Uni-Verse tente d’apporter une solution qui répondra aux problèmes de disparités linguistiques et culturelles entre les religions.

Long de vingt mètres sur cinq, Uni-Verse est un mur numérique pour la paix. Imposant, reflet de la problématique à laquelle il se dresse, il projette une traduction de chaque livre saint en plusieurs langues. Ainsi, Le Coran est traduit en Hébreu, La Torah en Grec, La Bible en Arabe et ainsi de suite. De plus, le mur ne se limite pas uniquement à la traduction dans les langues des livres saints. Ces derniers seront également traduits en mandarin, anglais, français, espagnol, hindi etc. Il prendra la forme d’un mur classique afin d’être le plus universel possible.

La Torah, La Bible et Le Coran sont écrits selon des versets. Ce sont ces derniers qui seront affichés sur le mur numérique. Les textes auront un mouvement bidirectionnel rappelant les différents sens d’écriture et de lecture. Une couleur sera rattachée à chaque religion afin de bien les distinguer : bleu pour le Judaïsme, blanc pour le Christianisme et vert pour l’Islam. En plus de ces traductions, Uni-Verse affichera d’autres éléments liés aux cultes religieux tels qu’une lampe éternelle (en hébreu ner tamid) numérique qui « brulera » en permanence, un espace dédié à des cierges interactifs ou encore une boussole indiquant la direction de La Mecque.

La ville de Jérusalem sera choisie pour recevoir le premier mur numérique Uni-Verse car elle est le carrefour entre les trois religions monothéistes. Par la suite, le mur pourra s’implanter dans d’autres régions du monde afin de véhiculer la tolérance et la paix entre les Hommes.

Au carrefour de lʼhorloge, de la station Saint Lazare, les passants affluent de lʼintérieur et lʼextérieur. Les déplacements de chacun convergent au centre pour se diffuser progressivement dans les couloirs du métro parisien. Le mouvement général de ce passage se présente comme un noyau où chacun déambule difficilement et se retrouve confronté au corps de lʼautre passant.

À partir de cette observation, lʼidée est venue dʼun dispositif qui permettrait de prendre conscience de son corps, celui de lʼAutre et de lʼimpact que nos mouvements créent au sein des zones de confluence souterraine.
La question qui sʼest alors imposée est celle de la représentation des mouvements, du contact entre les corps lorsquʼ ils se frôlent, se touchent et se percutent. Ainsi, je suis partie sur lʼévocation dʼun besoin essentiel ; celui de lʼespace vital qui est par nature invisible.

Le principe du dispositif est donc de rendre visible cette espace propre à chacun grâce à un système de capteurs infrarouges et de projecteurs. Situés sur le plafond des couloirs du métro, les capteurs repèrent les mouvements des passants, identifient la circonférence du corps tandis que les projecteurs diffusent simultanément un cercle au sol qui délimite pour chaque espace vital.

Celui-ci se distingue sous différents états.

Initialement, le cercle est diffusé sous la forme dʼune gamme chromatique de couleurs qui se déclenche instantanément lorsque le passant est actif. Les nuances de la gamme se basent sur les codes de la signalétique du métro parisien et varient en fonction de lʼemplacement de la personne. Par exemple, les personnes se dirigeant vers le quai de la ligne 1, vont voir apparaitre une dominante de jaune sur leur cercle.

Au cours des déambulations, les corps des passants rentrent en contact. Cʼest à cet instant que le cercle chromatique se décomposera. Selon le degré de collision, le cercle du passant percuté se fragmentera partiellement voire totalement (visible sur le schéma).
A la suite de lʼimpact, les cercles décomposés resteront projetés au sol quelques instants et disparaitront progressivement à lʼendroit du contact. En parallèle, lʼespace des acteurs de la collision continuent dʼêtre diffusé au sol et reste coordonné à leurs mouvements.

Grâce à cette interaction, les personnes pourront devenir responsables et acteurs de ce quʼils produisent physiquement et visuellement. Ce processus permet de marquer le sol et de créer une dynamique de parcours. En outre, lʼespace projeté sert de repères au marcheur alerte à ce qui les entoure. Il est ainsi confronté à lui même et à lʼautre par la projection de ses mouvements.

Pour mon projet d’art j’ai souhaité faire une œuvre communautaire est accessible à tous. Car je trouve que l’image de l’art est souvent associée à quelques choses d’inaccessible et de compliqué.

Pour mon œuvre j’ai décidé de placer une grande toile vierge sur les murs du bord de Seine. L’objectif est de les recouvrir d’un long bloc de papier ou de carton qui représente le support de l’œuvre. Sachant qu’il est impossible de recouvrir tous les bords de Seine, l’œuvre sera répartit sur une longueur de 20 mètres au pied de la Tour Eiffel. Ainsi il y aurait une grande visibilité et l’opération pourrait être une vraie réussite.

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Ce projet part du constat que nous dansons en suivant le rythme imposé par une musique. Et pourquoi pas l’inverse ? C’est-à-dire que notre danse crée un rythme musical. L’objectif est de laisser libre cours à notre corps pour pouvoir s’exprimer musicalement. La danse est, à la base, imaginée sur une musique, ce projet vous propose de créer votre musique sur votre danse et simultané.

L’installation est assez simple puisqu’il nous suffit d’une salle munie de quatre capteurs de mouvement (type Kinect ou Leap Motion) qui suivraient la vitesse et l’amplitude de nos mouvements afin de créer un tempo. Plus nous bougeons vite notre corps, plus le rythme musical s’accélère. Chaque partie de notre corps joue un instrument différent. Par exemple, notre main droite peut jouer la caisse claire tandis que notre jambe gauche joue le synthétiseur. Nous pouvons aussi augmenter le nombre de capteurs afin d’être plus précis, nous pouvons aussi multiplier le nombre d’instruments divisés sur les parties du corps (on peut donc imaginer une sonorité par doigts de la main par exemple).

Ce projet a pour but de laisser s’exprimer notre créativité sur le son et le mouvement en même temps. Ces deux composants étant intimement liés, l’expérience n’en ai que renforcée car la simultanéité du son correspondant aux mouvements nous pousse à créer des musiques uniques et éphémères.

Vous avez une petite plante que vous aimez beaucoup mais vous avez plein d’autres préoccupations dans la tête ?

Plant feelings translator est un projet d’un traducteur des sentiments des plantes. Il montre ce que nous n’arrivons pas à comprendre et c’est pour ça qu’il mesure son exposition au soleil (l’intensité), l’apport de lumière et la température à laquelle elle est exposée (température externe et interne), l’humidité du sol et de l’ambiance, l’état de nutrition du sol. Il peut distinguer aussi si la plante est malade ou s’il y a un parasite qui la menace, en tenant compte de l’absorption par la plante des éléments nutritifs, de la lumière et de l’eau.

Ce traducteur de sentiments se compose de deux instruments : un thermomètre qui est disposé à côté de la plante, dans le pot, qui sert à faire les registres décrits, connectable à un appareil qui reçoit ces informations à travers une puce et les enregistre. Ce thermomètre va pouvoir capter l’exposition de la plante aux différentes situations déjà décrites, selon son type et ses caractéristiques.

L’appareil sera composé d’un écran et d’un clavier avec une grille (sélection dans une base de données du type de plante - si c’est une fleur d’été ou une plante d’hiver, par exemple). Ce deuxième appareil peut envoyer des messages à un mobile par bluetooth pour présenter des rapports, en disant si la plante a besoin d’être arrosée ou si elle a reçu trop d’eau ; si elle a besoin de lumière ; si elle est trop exposée au soleil. L’appareil peut aussi sonner s’il y a un problème grave avec la plante et envoyer des messages d’alerte.

Plant feelings translator facilite notre vie. Ainsi, si l’on oublie de s’occuper comme il faut de sa plante ou si l’on ne sait pas qu’elle n’est pas bien, l’on peut y remédier.

Qu’est-ce que les gens sont en train d’écouter quand ils sont éloignes de tout et de tous avec ses écouteurs très fixe dans les oreilles ?

C’est une question qu’on peut se poser chaque fois qu’on voit quelqu’un dans le métro ou dans n’importe quel lieu « non lieu ». Parfois on aimerai bien satisfaire cette curiosité et pouvoir “piquer” ces sons ou, peut-être, pouvoir les partager.

Pour créer un espace sonore participatif et collaboratif, je propose ce projet d’écouteurs 2.0 ePhem.

ePhem sont des écouteurs sans fil, avec un port bluetooth, qui permettent de se connecter aux divers dispositifs qui sont près de l’utilisateur. Il faudra seulement sélectionner un des canaux ouverts pour se connecter.

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L’expression est tirée du film “Charlie et le grand ascenseur de verre” de Roald Dahl. Imaginez un ascenseur qui vous permette de voyager à travers le monde et de découvrir des espaces majestueux depuis un point de vue inédit.
C’est ce que propose “L’ascenseur de verre”.
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Projet : Construire une maison Minecraft

Concept : Il s’agit de construire une maison en cubes, les mures seraient des blocs autonomes pouvant être solidarisé entre eux par un mécanisme coulissant ou désolidarisable, tout en étant suffisamment résistant pour supporter des charges importantes telles qu’un plancher , un toit, et tout autre composant de construction de masse importante. On pourrait ainsi changer le matériau des murs à volonté et mêmes en fonction des saisons.

Tous les meubles, les rangements doivent entre construit dans le même état d’esprit de modules optionnels, par exemple rajouter des étages à une commode, agrandir la taille du lit, rajouter une fenêtre…ect.
Chaque bloc aurait un système de transmission électrique, permettant aux blocs électroménager de communiquer avec les blocs mur et ce afin de mettre un terme aux câbles.

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Cette idée émane d’un fantasme personnel. Elle vise, d’une part, à combler les envies créatives omniprésentes de tout individu et, d’autre part, à pouvoir changer l’apparence de son habitation dès qu’il le souhaite. Elle pourrait répondre à ce besoin que beaucoup ont de créer, de concevoir, de garder, de modifier, d’effacer et de recommencer dans sa sphère privée.

Elle consiste en la présence d’un mur/écran interactif qui s’adapterait à l’un des murs d’une habitation.

Ce mur interactif aurait trois fonctions essentielles.

La première, la plus importante, serait une fonction d’arts plastiques. L’habitant pourrait, au moyen d’un certain nombre d’outils (logiciel intégré et télécommande de type wiimote), réaliser des performances artistiques sur ce mur à la Jackson Pollock, par exemple. La kinect permettrait ainsi de peindre virtuellement ou de réaliser des projections de peintures « virtuelles » sur ce faux mur. La dimension virtuelle de cette installation permettrait ainsi d’effacer totalement la création ou bien de créer une Å“uvre évolutive, au rythme de la vie de l’appartement, jusqu’à ce qu’elle lasse son créateur. Ce logiciel de peinture interactive permettrait également un choix de couleurs et surtout de matières très étendu (bombe, acrylique, aquarelle…) qui donnerait au mur l’aspect le plus réaliste possible .

La seconde faculté de cet écran serait de mesurer l’ambiance émotionnelle qui règne dans la pièce à l’aide de la température du corps, du calcul du nombre de personnes, des déplacements ou des sons par exemple. Si l’écran perçoit des tensions, il diffuse des images apaisées. S’il perçoit une ambiance festive, il s’ y accommode. La diffusion de ces ambiances serait bien sûr modulable en fonction des goûts de l’utilisateur.

Dans un troisième cas, le mur redevient un écran (télévision, ordinateur…). Si son inactivité est totale, il revêtirait alors la couleur et l’apparence des murs existants le plus fidèlement possible.